En règle générale un bon voyant ou un bon médium ne vous posera jamais de questions. Cependant il a besoin pour se connecter à vous d’un minimum d’informations qui sont souvent votre prénom et votre âge (ou ceux de la personne qui vous intéresse …) il ne doit jamais demander le signe zodiacal ou la date de naissance (à moins qu’il soit astrologue ou numérologue cependant l’âge et le signe peuvent être utiles pour situer le consultant et le capter) qui lui permettent souvent de vous raconter des généralités pour meubler sa consultation et gagner du temps en faisant durer la consultation afin de vous faire parler et vous dévoiler d’une manière ou d’une autre l’objet de votre sollicitation. Le bon voyant, c’est celui dont les critères de sérieux, de moralité et de compétence sont au-dessus de tout soupçon, il se refusera à tous travaux occultes et à toute complaisance (le consultant a droit à la vérité même si elle est dure à entendre, si celle-ci est dite avec tact et diplomatie).
En premier lieu, il ne parle pas de lui ou vous fait parler pour faire durer la consultation.
Un professionnel responsable respecte l’anonymat de ses clients. Il respecte la vie privée de son client et s’interdit de la divulguer à son entourage, même le plus intime. Secret professionnel oblige.
Il sait garder une distance raisonnable, bannit toute familiarité, telle que les »ma chérie », « je pense à toi, je travaille pour toi, tiens-moi au courant ». Il ne copine pas avec ses consultants, pour s’en faire des « copains » « copines » et surtout ne les tutoie pas surtout dès le début ! (à moins qu’un rapport privilégié se soit instauré entre le voyant et le consultant après plusieurs années d’échanges et encore ? ce genre de rapport risque de fausser la voyance audiotel du professionnel, ce qui est donc à exclure, chacun devant strictement rester à sa place ! il n’y a pas d’alternative, les rôles sont clairement définis à la base : le consultant d’un côté, le voyant de l’autre, ou vous êtes « copains » ou vous êtes le consultant face à un professionnel, pas les deux en même temps !), ce comportement familier encourage l’addiction de la part des consultants (souvent du même âge) qui ne voient plus le voyant en tant que professionnel mais comme un bon copain ou une bonne copine à qui on peut se confier sans contrainte et qui les aide par leurs conseils (et non leur voyance) dans une passe difficile de leur vie, ceci ne s’appelle plus de la voyance mais du copinage, certains voyants sont spécialistes de ce genre d’échanges, ce qui est une manoeuvre astucieuce de la part du voyant, car en s’attirant la sympathie du consultant, il parvient ainsi à obtenir plus de consultations, leurs consultants étant devenus « accrocs » ; ces derniers ne cesseront plus de solliciter leur copain voyant pour un oui ou un non, pour toujours plus de conseils et d’avis, même si ici il est clair que la voyance n’intervient plus !! ces voyants ne font même plus de voyance mais un suivi facile et lucratif de ces personnes en leur fournissant des conseils et simples avis sur la situation qu’ils connaissent bien.